Origine des Peuples Migrateurs de la Terre
À tous les enfants du Monde sous le ciel étoilé


D'abord la formation de nos astres qui se fit jusqu'à l'éclairement du Soleil,

ensuite les ères successives que la Terre connût, sont les six jours de la création
de Dieu
exprimés par Moïse dans la Genèse.

Ces jours ne sont pas des jours de 24h, mais des époques.

Après que la famille solaire fut formée, le Soleil s'éclaira au PREMIER JOUR.

À la suite de quoi, la Terre évolua dans la nébuleuse solaire et vit apparaître
sur son sol le règne de l'eau au DEUXIÈME JOUR (le précambrien).
Puis, après l'émergence des premiers continents,
ce fut le règne des végétaux au TROISIÈME JOUR (le primaire).
Il fut suivi du règne des reptiles qui s'éteignirent lors du choc de la Lune sur Terre, qui vint présider la nuit au QUATRIÈME JOUR (le secondaire).
Vint ensuite le règne des mammifères et des oiseaux dans le CINQUIÈME JOUR
(le tertiaire), auquel succéda le règne des hommes dans le SIXIÈME JOUR
(le quaternaire), le jour durant lequel la Terre stabilisa son orbite autour du Soleil, qui est celle que nous lui connaissons.

C’est durant ce fameux Sixième Jour (correspondant à l’ère quaternaire
ou 4e Monde du peuple Hopi) que l’humanité endémique terrestre apparut
sur le sol de la Terre, dans chaque continent du monde.
Cette ère quaternaire a débuté il y a environ une dizaine de milliers d’années.
C’est une date approximative mais proche de la réalité. Bien que cela en étonnera beaucoup, l’étude le démontrera.

La Terre, comme toutes les planètes de son système, tourne autour du Soleil en étant inclinée sur son axe.

Mais depuis l'arrivée de la Lune, qui la fit basculer sur elle-même, la rotation de la Terre s'effectue dans une sorte de lent balancement
qu’on appelle la précession des équinoxes. La Terre semble revenir à sa position initiale une fois tous les 25 800 ans – environ.
La Lune entretient ce mouvement de balancier. Mais, ayant une origine, ce mouvement aura une fin.
Le phénomène semble léger à l’œil mais a pourtant une forte influence périodique sur le climat :

On représente à chaque fois la Terre au solstice de décembre.
Lorsque son inclinaison change par rapport au plan des anneaux du Soleil,
cela fait changer le climat sur les deux hémisphères.

Les deux cercles polaires varient considérablement, en faisant augmenter
ou diminuer d'autant la région habitable. La première figure montre l'inclinaison maximum, et la seconde l'inclinaison minimum. Actuellement,
la Terre se trouve entre ces deux positions, légèrement plus proche
de la deuxième figure. (Entraînant de légers réchauffements terrestres,
faisant fondre les pôles.)

Si depuis l'arrivée de la Lune (qui eut lieu vers la fin du secondaire) la Terre a effectué tant de balancements, il y eut tant de changements climatiques.
Mais, bien qu'ils furent beaucoup plus intenses dans le tertiaire, ces derniers changements climatiques furent ressentis plus fortement dans le quaternaire,
qui est l'ère dans laquelle le climat s'est tempéré et où est née l’humanité. (Cependant, pour évaluer ce phénomène, il faudrait faire une observation par siècle, non par année, car d'une année à l'autre la différence d'angle et de climat est trop minime pour être remarquée.)

En raison de ces lentes oscillations de la Terre qui font changer doucement le climat, là où il fait froid, il fera encore plus froid ou moins froid selon le sens
du balancement. Cela étant, le long des siècles, le climat tempéré montera beaucoup plus haut dans l'hémisphère lorsque l'axe de la Terre sera au plus haut
sur la figure. Et inversement, la glaciation de l'eau s'opérera plus bas lorsque l'axe terrestre sera au plus bas. De la sorte, on verra apparaître des glaciers périodiquement, là où précédemment le climat était tempéré. Il se forme des glaciers, parce que le réchauffement d'un corps est toujours plus long que
son refroidissement. La température estivale ne peut suffire à faire fondre autant de glace qu'il s'en forme durant l'hiver à très basse température.

Ce phénomène a engendré des migrations et a changé la végétation qui suivit le mouvement.
Mais tout cela était davantage marqué dans l'ère tertiaire que dans l'ère quaternaire durant laquelle ce balancement de la Terre était déjà beaucoup
moins prononcé. Des migrations eurent lieu étant peut-être l'origine de celles que nous constatons encore de nos jours pour certains animaux.
La Lune, en cause des balancements terrestres, fut au centre de la fascination des hommes ; la plupart des peuples du mondes ont longtemps utilisé
un calendrier lunaire, principalement.

Le choc provoqué par la Lune explique l'origine de l'orbite excentrée de la Lune autour de la Terre et l'orbite excentrée de la Terre autour du Soleil.
Il explique également l’absence de continents dans le bassin Pacifique et : pourquoi les dinosaures de la fin du secondaire ont soudainement disparu ;
l'origine de la ceinture de feu ; le volcanisme ; les tremblements de terre ; confirme la situation actuelle des planètes de la famille solaire ;
les changements d’ères géologiques ; l'explosion de l'atmosphère du Soleil
et aussi que ce dernier était autrefois comme Jupiter.


Les montagnes, aux antipodes du choc lunaire (l’Atlas du Sahara)
s'aplatirent par compression, ne laissant qu’un désert…

Aucune vie n'a pu résister à un tel choc et tout changea sur la Terre : l'atmosphère, la pesanteur, le climat et les saisons.
L’approche de la Lune donna lieu à des raz-de-marée qui, à eux seuls, détruisaient tout. La Terre trembla et bascula sous le choc.

Ce fut une période de séismes ininterrompus ; même lorsque les continents se stabilisèrent à nouveau, ils produisirent d'autres tremblements.
Et le choc provoqua aussi de profondes déchirures du sol et des remontées de lave effrayantes. Tout était changé.
Plus rien ne pouvait vivre à l'air libre. Vint alors le silence au milieu de ce grand désert.

Et, à la fin de l'ère tertiaire, il restait quelques surfaces désertiques provoquées par l'arrivée
de la Lune. Ces déserts, datant des jours où la Lune fut interceptée, n’ont pas reverdi dans le tertiaire qui fut une ère de très grands bouleversements géologiques et climatiques qui modifièrent les pluies. Ces zones sèches et inhabitées sont utiles car, grâce à elles, on peut réaliser l’importance d’un jardin,
tout en exerçant notre discernement. Terminons notre survol des ères géologiques terrestres et entrons dans ce sixième jour de la création où une nouvelle histoire humaine a commencé.

Pour comprendre le monde et connaître sa destinée, il faut nécessairement avoir à l'esprit que l'homme est dans son enfance sur cette planète qui est en bas

de la grande spirale galactique et dans les débuts de son existence. Depuis le début du sixième jour, il y eut une continuelle amélioration des conditions de vie
qui permirent la création de l'humanité dans ses quatre couleurs auxquelles se rattachent tous les peuples. Ces différentes et précieuses couleurs de l'humanité
sont consécutives au réchauffement progressif de la Terre qui se fit à l'approche du Soleil.

L'humanité est ainsi comme un seul fil teint pour le premier quart en noir, pour le deuxième quart en rouge (ou brun), pour le troisième quart en jaune,

et pour le quatrième quart en blanc. Il s'agit des quatre colonnes du temple de Dieu, des quatre couleurs dégressives et distinctes de l'humanité qui se subdivisent en races, en peuples, en tribus, en familles, en couples et enfants.
Les premiers couples de chaque race furent créés successivement çà et là tout autour du globe…

La plus ancienne histoire du monde se retrouve dans l’enseignement de tous les peuples premiers, comme dans les traditions de ceux qui ont réussi à conserver l’Histoire originelle.

En résumé
, cette histoire raconte que des humains extrêmement évolués (tels des dieux) sont arrivés sur notre planète Terre, avant l’ère primaire,

et ont assisté à la naissance de l’humanité terrestre apparue au début de l’ère quaternaire. Ces humains-dieux venus du centre de notre Galaxie ont suivi l’évolution de la Terre, du précambrien jusqu’au quaternaire, dans des corps s’adaptant aux conditions sans cesse changeantes de la vie sur Terre.
Ils ont donc connu quatre types de corps humanoïdes distincts, que la Tradition Hermétique appelle Quatre Races-Racines, en rapport avec l’ère primaire, secondaire, tertiaire et l’ère quaternaire où l’humanité terrestre apparut au milieu de ces Dieux.

Nous entrerons plus tard dans la description détaillée des différentes et divines Races-Racines,
qui ne sont pas à confondre avec les quatre races / couleurs de l’humanité née au quaternaire.

Pour faire simple : les Races-Racines sont les Dieux incarnés sur Terre alors que les quatre races sont les quatre couleurs humaines apparues à l’ère quaternaire et qui étaient uniquement terrestres, avant que le mélange avec les Races-Racines n’engendre l’humanité actuelle, mi-terrienne, mi-céleste.

Pour l’instant, focalisons-nous sur la Troisième Race-Racine car c’est cette Race qui est surtout décrite par les plus anciennes traditions humaines,
puisque nos ancêtres humains-terrestres ont côtoyé les êtres de cette Troisième Race-Racine qu’ils considéraient comme leurs dieux.

On appelle cette Troisième Race-Racine : la Race Lémurienne, en référence
à l’animal (on trouve des fossiles de lémuriens à différents endroits du globe,

là où aurait vécu la Troisième Race-Racine Lémurienne). Leur forme physique est représentée par les statues de l’Île de Pâques (moais).
Ces êtres de la Troisième Race-Racine étaient robustes, de grande taille
(entre deux et trois mètres), relativement poilus et légèrement simiesques

(pouvant faire un peu penser à de grands singes). Ils avaient également
des capacités psychiques hautement développées, une connexion à la nature très forte et vivaient en harmonie avec l’environnement terrestre. Malgré qu’ils n’eurent pas besoin de cultiver de nourriture (leur physiologie permettant qu’ils se nourrissent des énergies de la nature) et qu’ils n’avaient pas non plus la nécessité de fabriquer des outils (leur force physique
et psychique étant suffisante), ils ont quand même enseigné ces connaissances aux premiers humains terrestres, puisque c’était leur mission céleste
et leur raison d’êtres divins venus du centre de notre Galaxie.

Une fois que ces savoirs furent transmis à nos ancêtres humains terrestres (durant l’ère quaternaire),
ces êtres divins s’éteignirent progressivement, après avoir aussi mélangé leur sang par des mariages de chair avec l’humanité terrestre du quaternaire.
En fait, c’est sous la forme de la Quatrième Race-Racine que ces mariages se sont produits, lorsque ces êtres divins s’étaient adaptés aux nouvelles conditions terrestres (celle de l’ère quaternaire) et qu’ils prirent la forme humaine qu’on a appelé Atlante. Les premiers Atlantes sont donc l’ultime adaptation de ces êtres humains-divins (venus du centre de notre Galaxie pour enseigner l’humanité du quaternaire), qui épousèrent des femmes terriennes ayant alors enfanté
ces fameux Héros (ou Géants) de l’antiquité (dont parlent des milliers de légendes, parmi tout autant de peuples sur notre planète) : les demi-dieux.

C’est donc à partir de la Race Atlante (Quatrième Race-Racine) que le métissage dieux - humains commença et qu’il continua, jusqu’à ce que les dieux
se soient tous éteints de vieillesse. (Mais, par leur âme, ces dieux continueront de s’incarner dans notre humanité… Nous y viendrons.)

Les premiers descendants de ces mélanges entre les dieux et les humains terrestres furent des êtres humains aux capacités extraordinaires,
dont le développement spirituel était bien plus rapide et lucide que celui des humains uniquement terrestres. Puis, avec les siècles qui passaient, les gènes
des êtres divins se diffusèrent à travers toute l’humanité, jusqu’à former ce que l’Hermétisme appelle la Cinquième Race-Racine, la Race Aryenne
(notre présente humanité de couleur noire, rouge-brune, jaune et blanche). On expliquera pourquoi ce nom fut attribué aux peaux-blanches…
Parce qu’il est compliqué d’assimiler tous ces concepts (d’autant plus parce que les divers mensonges des fausses sciences et religions ont noyé l’esprit humain), évitons de gaver le mental.


Restons-en au fait : les dieux qui ont enseigné les premiers humains avaient parfois des formes simiesques (les Lémuriens) et parfois plus humaines
(les Atlantes) ; c’est bien ce que racontent les multiples traditions et légendes de notre planète, que ça soit en Afrique, en Amérique,
en Océanie, en Asie ou en Europe, comme nous allons le voir maintenant, durant notre petit tour du monde de l’Histoire de l’Humanité et de sa Grande
Migration du Quaternaire (4e Monde ou 6e Jour, selon le peuple Hopi ou l’Ancien Testament – car chaque peuple peut avoir son propre système
de datation et calendrier, ne changeant rien à la chronologie qui reste toujours la même, partout).

Ces migrations se retrouvent dans les légendes, récits, contes, mythes ou autres histoires des peuples actuels qui ont su conserver la mémoire
des commencements de l’humanité, comme nous allons le voir. Ces enseignements racontent : la création terrestre, l’origine de l’humanité, le fonctionnement
de l’âme et sa conscience qui nous permettent d’être et d’exister, et racontent aussi la venue des êtres du ciel qui ont transmis toutes ces connaissances
à l’humanité. Tout ça sera patiemment expliqué ; car tout est là, sous nos yeux et sous nos pieds. Et par la Science Électromagnétique aujourd’hui enseignée
dans le livre de vie, il est possible de remettre en ordre toute cette histoire de nos origines, avec logique, par les faits historiques venant confirmer tout ça.

Encore une ou deux choses à dire pour que toute cette aventure soit la plus claire possible… et on est parti.

Si toutes ces traditions du monde ont des différences entre elles, sur certains détails décrivant le passé, c’est parce que les humains ont eu différents langages symboliques, selon leur peuple, pour décrire les mêmes faits. Ces différences sont principalement liées aux chiffres et aux calculs :

- des dates, parce que les époques n’ont pas été comptées depuis toujours avec le même référentiel ; jusqu’à l’époque de Moïse, la majorité de l’humanité
datait les années en cycles de treize mois lunaires, mais d’autres peuples comptaient en cycles vénusiens ou par les cycles des étoiles Sirius ;
ce qui induit en erreur lorsqu’on essaie de connaître les dates exactes des évènements du passé - du nombre d’individus des peuples, parce que les humains
des commencements, nés au début de l’ère quaternaire, ne donnaient pas beaucoup d’importance à la précision des chiffres,
et ne connaissaient des mathématiques que ce qui est essentiel à la vie quotidienne  ;
à raison car, dans l’univers, deux particules ne sont jamais parfaitement identiques ; il sert donc peu de connaître précisément l’exactitude des choses…
la connaissance générale suffit largement pour vivre en harmonie avec ses semblables et avec soi-même – mais, attention !
les enseignants célestes des humains du quaternaire leur avaient transmis certaines valeurs numériques tels que les nombres π (Pi), φ (Phi), et tout ce qui servit aux bâtisseurs de Pyramides ou de Cathédrales partout sur Terre, qui sont l’œuvre de ceux qui ont souhaité laisser une trace matérielle de leur savoir
(utile aujourd’hui pour confirmer l’existence des dieux venus du ciel).

Les traditions ont donc du mal à s’accorder sur les dates précises de toutes ces migrations, constructions, etc., autant qu’elles ont du mal à être d’accord
sur le nombre exact des populations qui migraient partout sur la planète, de même qu’aujourd’hui… (je pense à ceux qui s’amusent à comptabiliser le nombre d’humains dans les villes et dans le monde, ou à ceux qui fatiguent leur mental en voulant savoir exactement combien d’individus étaient présents à telle manifestation, ou encore à tous ces soi-disant scientifiques qui prétendent connaître l’âge de l’univers ! alors qu’ils ne sont même pas capables d’expliquer comment la Terre est passée par différentes ères géologiques).

Les êtres humains terrestres nés au début du quaternaire n’étaient pas très nombreux ; par-ci par-là, ils commençaient à ouvrir les yeux sur le monde autour d’eux, tels des nouveau-nés, sous le regard de ces Dieux venus du Ciel, qui assistèrent aux premiers pas de l’humanité.
Ces êtres humains nouveau-nés étaient donc à la fois surpris et émerveillés par ces choses étranges, ces odeurs, ces couleurs, ces bruits partout autour d’eux,
la forme de ces grands arbres et de tous les petits animaux…
Leur âme était comme vierge, prête à un nouveau départ.

Ceci étant, maintenant que nous avons les clefs de l’Histoire de la Terre en main,
ouvrons la porte qui mène vers le merveilleux souvenir du passé de notre si chère humanité.

C’est comme remonter son arbre généalogique sur des milliers d’années.

Plus un peuple s’est éloigné de ses racines, plus il s’est fait hybrider par la sombre société moderne.
Ce déracinement est la cause de tous les maux du monde car la Mémoire est la source lumineuse permettant à l’âme d’un peuple de cultiver le terreau
de son savoir, évitant la folie et la destruction.
La Tradition des Anciens et l’Enseignement du Serpent à plumes sont présents chez tous les peuples qui ont entretenu la sagesse des origines, malgré les insultes
de tous ceux qui s’en moquaient (ces humains qui furent endormis, hypnotisés et lobotomisés par les cadeaux pervers du système).
Nous allons donc maintenant remonter les liens qui mènent à notre passé et à la Source éternelle, réveillant et guérissant nos racines souffrantes depuis l’oubli de notre Histoire. Mon but principal : raviver cette première connaissance de l’humanité, avec le plus de pureté possible, pour celles et ceux qui ont soif
de la vérité et qui souhaitent hydrater leur âme.

Et faites paisiblement passer le mot à tous ceux qui doutent, qui critiquent, qui se moquent ou qui se débattent devant tous ces faits historiques dont les preuves se trouvent : sur les temples au sud de Yonaguni (immergés dans l’archipel japonais Ryūkyū) ; dans la migration des oiseaux pétrels qui se mettent à tourner
en rond au sud-ouest du Cap Vert (en quête de leur antique lieu de repos aujourd’hui englouti) avant de revenir à leur point de départ du Brésil ;
dans la très forte fréquence de Rhésus négatif du peuple Basque (qui est récessif et dont les académiciens ignorent l’origine), autant que dans sa langue
aux racines communes avec celle des peuples d’Amérique Centrale ; dans le souvenir des peuples de l’Océan Pacifique et de tous ceux qui conservent l’Histoire Humaine. Ceux qui se proclament eux-mêmes scientifiques en deviennent ironiques, sarcastiques et pathétiques.


Le fait est que des dizaines de peuples, aux antipodes les uns des autres, partout sur la planète, racontent cette histoire de dieux venus du ciel et ayant enseigné
les premiers humains nés de la terre
, tout en rapportant une chronologie identique quant aux migrations, disparitions de continents, rencontres et métissages
avec ces êtres célestes, jusqu’à même décrire leurs apparences, leurs manières de vivre et tout ce qu’ils enseignèrent, avec les mêmes détails historiques.
Donc bon…


Toutes ces mémoires dans nos chromosomes, cellules, ADN et traditions sont la marque de ce passé.

Il n’y a pas plusieurs vies dans l’univers, il n’y a qu’une seule vie et conscience éternelle, dont nous sommes chacun un minuscule point de vue.
Nous voyons tous la même réalité, mais chacun d’un angle différent. C’est ça qui cause les conflits entre ceux qui veulent imposer à tout prix leur point de vue, alors que chaque point de vue est aussi important aux yeux de la Conscience universelle (qui est la somme de l’infinité des minuscules points de vue de chaque être de l’univers). Laissons quelques temps le monde se dérouler sans nous, pendant que nous buvons à l’eau vive de toute la légende et du mythe de notre existence. La légende c’est « ce qui doit être lu » ; le mythe c’est simplement l’« histoire ». Même les mots ont perdu leurs racines… dont il reste juste l’essentiel,
suffisant pour bouturer à nouveau la mémoire universelle et redonner vie à notre jardin luxuriant.

N’accrochez pas vos ceintures, bien au contraire, défaites-vous de tout ce qui empêche de cheminer d’un pas léger.
Toi qui lis, tu n’as besoin de rien d’autre que ton attention et tout ce qui te permet d’entendre que l’esprit en toi est le même esprit qui engendre
absolument tout l’univers en animant chaque être vivant depuis toujours et pour l’éternité.

Allez viens, on y va.

L'activité électromagnétique des astres démontre que notre Soleil deviendra une étoile géante
dans les temps lointains, en remontant la branche de la Galaxie. Mais, pour l'instant, possédant encore Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter qui croissent dans sa famille avec leurs satellites,
en augmentant son inertie d'ensemble, le Soleil descend pour l'instant vers le bord de la Galaxie, accusant la force centrifuge de la Galaxie qui tourne
sur elle-même depuis son centre, où s’éteignent les vieilles étoiles en s’effondrant sur elle-même (créant un vide magnétosphérique, une aspiration).
Pour ces raisons, on sait que la famille solaire est l'une des plus jeunes familles de la Roue galactique. Mais cette jeunesse se remarque aussi par le climat tempéré qui est consécutif à la stabilisation de la Terre qui s'est opérée récemment. Ayant besoin de cette stabilité, l'humanité n'existe donc que depuis peu
de temps ; et c'est pour qu'elle demeure en nous que nous apprenons toute la vérité.


Pour comprendre le monde et connaître sa destinée, il faut nécessairement avoir à l'esprit que l'homme est dans son enfance sur cette planète qui est elle-même en bas de la grande spirale et dans les débuts de son existence. Et, avec l'aide du serpent, il faut imaginer ce que fut la continuelle amélioration des conditions
de vie qui permirent la création de l'humanité dans ses quatre couleurs auxquelles se rattachent tous les peuples. Ces différentes et précieuses couleurs
sont consécutives, elles aussi, au réchauffement progressif de la Terre qui se fit à l'approche du Soleil. Voici comment :

On observe ici la Terre à la sortie du tertiaire, en fin du mouvement des va-et-vient terrestres devant le  Soleil qui la fit entrer dans le quaternaire
où elle se stabilisa. Bien que déjà réchauffée et couverte d'un très grand nombre d'espèces animales, elle se rapprocha encore un peu du Soleil,
en resserrant progressivement ses orbites qui l'amenèrent doucement
dans la région du ciel où nous sommes aujourd'hui. Ce qui permit évidemment
à la région équatoriale de se tempérer en premier.

Puis, au fur et à mesure de son avancement, cette douce température s'étendit sous toute  les latitudes. Ainsi, les conditions de vie nécessaires à l'existence humaine apparurent en premier à l'équateur (sous les tropiques),
et se répartirent ensuite sur l'ensemble du globe qui se réchauffait lentement.
Il semble que la Terre était proche de l’inclinaison maximum de son axe
(voir au-dessus) faisant que la zone tempérée était plus au sud qu’actuellement
et que les premiers hommes noirs sont donc apparus entre l’équateur
et le tropique du capricorne qui était la zone équatoriale d’alors.

Ce sont donc les hommes très NOIRS qui furent créés les premiers dans les régions équatoriales (1). Puis, un peu plus tard et plus loin de l'équateur (2),
vinrent les hommes moins noirs et plutôt BRUNS-ROUGES de peau. Plus tard encore et toujours plus loin (3), les hommes JAUNES arrivèrent sur Terre.
Et, en dernier (4), ce sont les hommes BLANCS qui naquirent en terminant la création.

Les premiers couples de chaque race, furent créés successivement çà et là tout autour du globe.
Mais, indépendamment du climat tempéré qui leur était indispensable, l’humanité avait besoin de toute la création végétale et animale qui la précédait
pour être formée et pour pouvoir subsister. C'est pourquoi, sans la diversité des mondes des ères précédentes, et sans celle des végétaux et des animaux
qui nous devancèrent dans notre ère, le monde humain ne serait pas. Il fallut en effet tous les changements climatiques du passé et les mondes antérieurs
pour que notre monde existe aujourd'hui. Les êtres vivants d'une ère géologique ne pouvaient être ceux d'une autre ère où les éléments ne correspondaient
plus à ce qu'ils étaient ; aucune créature ne peut être la bonne et juste réponse des conditions de vie différentes de celles qui sont à l'origine de sa couleur et race.


Sur la création de l’humanité terrestre, il est écrit dans la Genèse de Moïse :
L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie, et l'homme devint un être vivant.
Cette description imagée de la formation de l'homme, montre que la poussière (la matière) qui compose la terre compose forcément le corps humain.
De ce fait, comme tout être, l'homme est partie intégrante de la planète. Il est la bouche et l'esprit de la Terre, il est son enfant et la raison même de l'existence
de la famille solaire. Ce qui est semblable dans toutes les familles stellaires de la Galaxie, parce qu'en existant partout, la vie se manifeste partout dans l'univers
de Dieu et son origine n’est pas d’ici-bas, car le souffle de vie provient d'en haut et non d'en bas.


Peut-être l’humanité fut créé par des mélanges de gènes opérés par les dieux des commencements…
Peut-être fut-elle créée à partir de corps de grands singes terrestres métissés avec des humains-dieux venus du cosmos…
et peut-être qu’elle apparut par principe cymatique, comme lorsque l’on fait vibrer une plaque de métal recouverte de sable et que, par l’augmentation
des fréquences, le sable dessine ,des formes de plus en plus complexes, suivant la forme des ondes qui vibrent sur la plaque…

Puisque tout l’univers est un mélange de fréquences d’ondes et particules dans l’éther illimité, on peut comparer l'humain à une somme d'unités de fréquences ajoutées les unes aux autres. Lorsqu'on compose un nombre, on ajoute unité à unité. En ce sens, mille c'est mille fois un, et ainsi de suite pour tous les nombres
qui ne peuvent exprimer qu'une quantité d'unités. Donc, en ajoutant une unité de plus à une certaine quantité, on peut faire basculer cette quantité déjà formée
dans une autre catégorie, comme une marche de plus fait changer d'étage. Chaque espèce végétale et animale est comme une vibration, un son, puis des notes composant une mélodie de plus en plus élaborée, dont l’humanité est la partition toute entière ! Nous sommes donc la musique de la planète Terre jouant
sa partition en accord avec celle de toutes les planètes Terres de la Galaxie, composant ensemble la symphonie galactique,
elle-même en accord avec celle de toutes les galaxies de l’univers !


Quoi qu’il en soit, il n’est pas utile – à notre si jeune niveau de conscience – de savoir exactement comment l’humanité est apparue sur cette planète ;
pas plus qu’il ne sert à un bébé de savoir techniquement comment il a été conçu… l’histoire du papa qui met la graine dans la jardin (le ventre) de la maman
est suffisante pour rassasier son esprit qui chercherait à comprendre la reproduction.

Chaque couleur – race – humaine est donc apparue sous toutes les latitudes propres à sa génétique, parfois sur des terres qui ont depuis disparu sous les eaux. L’Histoire donnera de nombreux exemples.

Il faut donc bien entendre que le sens des mots s’est transformé et parfois inversé dans le temps, rendant des termes péjoratifs (être gauche ou sinistre du latin sinister) en fonction des croyances culturelles et / ou de la nécessité de définir des opposés afin que l’esprit s’élève par le discernement des choses contraires.
L’esprit universel – conscience formant l’univers – ne crée pas le Bien et le Mal, mais c’est seulement l’esprit humain qui le définit relativement à ses besoins
de trouver l’équilibre sur le fil de la vie et de sa destinée. Ne t’étonne donc pas que les étymologies rendues ici s’opposent parfois à (ou contredisent)
celles données par les dictionnaires actuels ne remontant pas le langage jusqu’à la racine et l’origine des mots et des expressions. D’autant qu’un mot a souvent plusieurs étymologies puisque les hommes, les femmes et les peuples qui font les langues, ont toujours usé d’inventivité et de jeux de mots, de sens
ou de prononciations pour enrichir leur vocabulaire.

Pour donner un exemple de toutes ces transformations et proposer d’emblée un petit exercice permettant de se familiariser avec l’étude de l’étymologie,
le mot Goth (de l’ancienne peuplade allemande) vient originellement du mot de langue atlante Whôd, signifiant « l’Éternité » et qui, transformé dans le temps
par l’évolution de la langue puis la mutation dans les langages voisins, est devenu Goth, le nom d’un peuple, et Odin, le nom de l’initié qui enseigna ce peuple
en question. Mais on emploie aujourd’hui le terme Gott en allemand et God en anglais pour l’équivalent de Dieu, venant de la racine goth et se retrouvant également
en consonnance dans le terme allemand gut et l’anglais good, signifiant « bon », qui vient pourtant du celtique gut, le gosier ; d’où gust, le goût.

On voit ici que l’intuition qui engendre le langage fait des choix poétiques dans son évolution.

Pourtant certains étudiants académiques (pervertis par les institutions dominantes) voient venir Odin du vieux norrois Óðinn – correspondant
aux noms Wotan (vieux haut allemand), Wodan (vieux saxon) et Wōden (vieil anglais) des Germains occidentaux depuis le germanique Wōđinaz ou Wōđanaz

venu de wóðana signifiant « colère, folie ». Et voilà justement l’erreur par inversion, car si wóðana a signifié la colère ou la folie c’est uniquement parce que
les descendants ou voisins des Goths voyaient dans cette divinité la violence avec laquelle les Goths la prêchaient ; ils étaient devenus un peuple d’une immense furiosité légitimant leur furie par une suprême allégeance à leur Dieu Wotan-Odin. C’est alors que le terme de wóðana se mit à signifier la fameuse colère, folie
et violence du peuple Goth qui symbolisait Wotan-Odin, et qui n’est pas l’origine du mot mais la conséquence du comportement des adeptes de Óðinn qui furent coupables de la dégradation du nom de leur dieu. (Il est important de saisir ces concepts d’évolution du langage pour ne pas tomber dans le piège des fausses évidences, comme ces chercheurs modernes qui voient, par exemple encore, le latin être l’origine du français, alors que c’est plutôt l’oscar (proto-basque)
et le celte, mélangés plus tard au sanskrit (et dravidien) qui engendrèrent l’occitan qui, avec la langue d’oïl (ou d’oui), entre autres patois gaulois et voisins,
donna la langue française.) Plus tard, le terme goth signifia simplement peuple comme pour les Wisigoths, auxquels il ne restait plus que la folie colérique
de ce Odin dont l’enseignement avait été abandonné…


Un autre exemple pour comprendre comment une langue évolue : en français, il existe différents accents ; du sud au nord de la France, jusqu’en Belgique,
au Canada ou en Nouvelle-Calédonie, chaque région ou peuple a adapté cette langue en fonction de son esprit (environnement et caractère).
Dans le sud-ouest de la France, la lettre « v » se prononçait « b » ; du point de vue de la linguistique historique Basque pouvait se dire Vasque ou s’écrire Bask.
Donc, Vascon et Basque sont le même mot. De même, en ancien français, la lettre « V » se prononçait comme un « G » dur (Willaume se lit Guillaume),
en sorte que le mot Wascon se prononce Gascon. Les noms Gascon et Basque ont la même origine étymologique : l'ethnonyme vascon prononcé /uaskon/.            L'initiale /u/ a subi des évolutions diverses suivant le contexte en /v//w//b/ ou /g/. La forme gascon est une adaptation romane du mot vascon qu'on attribue parfois
à une prononciation germanique (peut-être wisigothique), bien que les divergences puissent s’expliquer dans le cadre phonologique aquitain.
Ceci image l’évolution des mots par leurs lettres.


Le mot papa, ou père, vient de la racine atlante-pélasgique atta, qu’on retrouve en albanais, lydien, vieil irlandais, gothique (haut-allemand), grec et égyptien ancien, latin, langues indo-iraniennes, russe, serbe, turc, ouïghour, kazkakh, japonais, inuit, phénicien ou dans une foule de langues encore actuelles, transformant ce mot,
y ajoutant un « t » devant et, ou, en l’enlevant en fin de mot, qui s’est adouci en hébreu devenant abba (puis baba, dady, etc.)
et dont la racine existe jusqu’en Amérique du Sud dans l’andéen inti ou le mapuche antü, qui signifie le côté paternel et ancestral du Soleil.


Puis, le mot sentence signifie un jugement, en français, alors qu’elle est seulement une phrase, en anglais, exprimant qu’un même mot a pu prendre des sens différents selon l’esprit des peuples.

Voilà pour l’évolution des langues depuis les plus originelles (comme celle de Mū) qui permettent aussi de retracer l’évolution des peuples par les métissages
se lisant sur le visage des peuples humains.


Pour toute question, discussion ou remarque, tu peux me contacter ici : cabroncito@hotmail.fr ; ou sur fb : Gabrielo Pti'nuage. Amitiés


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